3 jours et 2 nuits pour res-pi-rer. A Saint-Quentin-en-Tourmont, dans la réserve naturelle de la Baie de Somme : une chambre d’hôte dans une typique longère picarde blanchie à la chaux, avec grand jardin.
Et par la fenêtre de cette chambre ? D’un côté, le Domaine du Marquenterre et pas moins de 1 000 hectares de dunes et de pins, et de l’autre, les pâturages où paissent les Hensons. Ressourçant, non ? On profite des grands espaces pour se vider la tête, res-pi-rer l’air vif et se faire plaisir! Au parc ornithologique du Marquenterre (à seulement 10 minutes à vélo par la piste cyclable ; les vélos vous sont prêtés par vos hôtes), attention les yeux : 300 espèces d’oiseaux nichent et font escale ici (oui, tous ne migrent pas !). 13 postes d’observation pour pouvoir apprécier le tableau (barge à queue noire, aigrette, spatule blanche, cigogne et autre héron bihoreau) sans les déranger dont le n°6 avec poêle à bois et boissons chaudes offertes...Vous êtes aussi à 2 min du centre d’élevage Henson. Traverser la forêt de pins à cheval (ou en calèche) jusqu’au point de vue panoramique sur la plage, les bouchots, le Hourdel au loin... et peut-être croiser en chemin mouflons, sangliers et lapins… Pensez à marcher lentement, pour mieux vous imprégner des couleurs opalescentes qui ont inspiré tant de peintres.
Le soir venu, direction l’Auberge de la Dune à Saint-Firmin qui propose un menu locavore (terrine d’agneau de prés-salés de la Baie de Somme aux salicornes, moules de bouchot pêchées à 2 pas, ficelle picarde…). Le lendemain, réveillés par le chant des oiseaux et la bonne odeur de pancakes maison, vous emprunterez le chemin d’accès à la mer qui passe juste derrière la maison : 7 km aller-retour de sentier sous les pins, sur tapis sableux et au bout...encore un paysage immense à couper le souffle, qui rend heureux (et amoureux ! :)). Et s’il manquait encore une cerise sur le gâteau, voilà : en fin de journée, remettez-vous entre les mains expertes et le professionnalisme de Didier pour un massage californien d’une heure. Les tensions évaporées, c’est le lâcher-prise toooo-taal.
onlget